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mardi 25 janvier 2022

Résumé Le dernier jour d'un condamné


Dernier jour d'un condamné
Résumé Le dernier jour d'un condamné

   Résumé 1

Victor Hugo se met à la place d’un condamné à mort pour décrire toutes les angoisses vécues durant les six dernières semaines avant son exécution. Hugo est un partisan de l’abolition de la peine capitale et son récit vise à émouvoir le lecteur et à le sensibiliser à cette cause.

Après avoir commis un crime – sur lequel l’auteur ne donne pas beaucoup de détails – qu’il avoue au tribunal, le prisonnier est condamné à mort. Il est emmené à la prison de Bicêtre, et le cauchemar commence. Il est enfermé dans une cellule qu’il qualifie de hideuse, sombre et pleine de toiles d’araignées. Il a beaucoup de mal à s’y habituer, ne parvient vraiment pas à dormir. Se sentant seul et ne pensant qu’au jour de son exécution, il a beaucoup de mal à résister à des cauchemars qui le pourchassent jour et nuit.

Après quelques jours, il commence à s’adapter à sa situation misérable. C’est un homme gentil qui n’a pas l’air d’un criminel, il entretient de bonnes relations avec les autres prisonniers et commence à parler le même argot de prison qu’eux, pour lequel il montre de l’intérêt.

Il aperçoit sur les murs de sa cellule des écrits, des dessins, des commentaires, des signatures : tous ceux qui l’ont précédé y ont laissé leur trace. Il a l’idée d’écrire lui aussi pour se distraire et surtout pour cesser de penser à ce maudit jour qui l’attend.

Le condamné commence à compter les jours, il fait son testament tout en pensant à ses proches, notamment sa mère, sa compagne et surtout sa petite fille Marie, qui un jour lui rend visite sans pouvoir le reconnaître, ce qui lui fait très mal. Il se demande comment elle va s’en sortir, comment elle pourra échapper aux regards des autres, stigmatisée par sa filiation avec un criminel.

Un jour, il assiste à une scène à laquelle il ne peut pas résister : sous une pluie torrentielle, on oblige, devant ses yeux, d’autres prisonniers à aller sur des chantiers pour y accomplir des travaux forcés ; ils sont maltraités par les geôliers devant une grande foule de spectateurs. Il n’arrive pas à se maîtriser et invective la foule qui considère cette scène comme un spectacle. Il s’évanouit et il est transporté à l’infirmerie. Après s’être remis, il entend une douce voix chanter : c’est une jeune infirmière. Il savoure ces courts moments qui changent de l’ordinaire carcéral tout en pensant à s’évader. Il tente de le faire mais échoue et il est remis dans sa cellule.

Il commence à rêver de liberté, qu’il s’est évadé, qu’il est au port où il attend le départ d’un bateau, mais son rêve se brise quand un gendarme vient lui demander son passeport.

Le jour de son exécution arrive. Très tôt le matin, le directeur lui rend visite dans sa cellule ; il se montre gentil, souriant, et lui demande ce qu’il veut manger. Notre prisonnier comprend que sa dernière heure approche ; on lui sert tout ce qu’il demande mais rien ne l’empêche de penser à son terrible sort.

Un prêtre lui rend visite pour l’aider à faire ses dernières prières. Ils discutent un moment ensemble, mais le prisonnier ne peut pas penser à autre chose qu’à son exécution. Un peu plus tard, il reçoit la visite de l’huissier de justice, qui lui affirme que le pourvoi a été rejeté : il sera bel et bien exécuté ce jour même. Il ajoute qu’il reviendra le chercher un peu plus tard pour l’amener là où il rendra son âme : la place de Grève.

Une heure après, l’huissier revient accompagné du prêtre et tous trois se dirigent vers la conciergerie. Durant le trajet, ils bavardent beaucoup mais le condamné ne peut que penser au cauchemar qu’il vit. À la conciergerie, il est remis entre les mains du directeur, puis placé dans une cellule où il fait connaissance d’un autre condamné à mort, lequel occupera la cellule où il a séjourné ces six dernières semaines.

Les heures passent, le prisonnier souffre énormément, il a mal partout et nourrit toujours un espoir : la grâce royale. Il suffit d’une signature pour le sauver de l’échafaud. Il attend avec impatience et, chaque minute passant, il espère la bonne nouvelle. Il pense à ses souvenirs d’enfance, à son père, à ses amis et à Pepa, une jeune Andalouse dont il était amoureux et qui lui avait tenu compagnie une très belle soirée d’été.

Il entend dire que la mort par guillotine ne fait pas mal, tout en se demandant comment légitimer une telle affirmation puisqu’aucun condamné à mort ne peut la confirmer.

À trois heures, on l’amène à l’Hôtel de Ville près de la place où il sera exécuté. Il pense à toute cette foule qui le regarde, applaudit et se distrait en le voyant sur l’échafaud. Il pense encore une fois à sa fille Marie, ce qui le chagrine énormément ; il veut lui écrire une lettre, le mot d’un père à l’approche de sa fin, mais il ne peut pas : ses mains tremblent, son esprit est ailleurs, il abandonne cette idée. Il demande encore une fois qu’on lui amène un prêtre afin d’accomplir ses dernières prières ; on exauce son désir mais le prisonnier n’apprécie guère l’homme d’Église face à lui, il est frustré par son attitude : le prêtre se moque de lui et semble peu se soucier de ce qui va lui arriver.

On vient le chercher, ses bourreaux lui coupent les cheveux, lui attachent les mains et le conduisent vers la place de Grève. Il entend les cris de la foule, il continue d’espérer cette grâce qui ne lui sera jamais accordée.

 Résumé 2

Un condamné à mort obsédé par l’idée de la mort, nous parle de son séjour à Bicêtre, puis à la conciergerie et décrit les préparatifs de son exécution. Il exprime ses sentiments sur sa vie antérieure (passé de liberté et nous fait part de ses dernières pensées, de ses angoisses et de ses souffrances quotidiennes qu’il subit lors de son incarcération. Il se fera exécuter sous la clameur du peuple qui voit sa mort comme un spectacle.

Résumé 3

Le Dernier Jour d'un condamné a été écrit par Victor Hugo en 1829. Indigné par la guillotine et le traitement de la société envers les condamnés, Victor Hugo décida de dénoncer cette aberration à travers son roman : conditions de vie déplorables des prisonniers, traitement inhumain des condamnés en décrivant les souffrances morales et physiques de ces derniers. Le roman est présenté comme un journal intime d'un condamné à mort. Il y écrit ses pensées. Plus qu'un journal, c'est un véritable témoignage. Tout au long de sa vie, le condamné nous livre ses états d'âme : ses angoisses, ses tentatives d'évasion et ses espoirs d'être gracié. C'est un roman poignant où Victor Hugo exprime fermement son opposition à la peine de mort décrivant l'absurdité de la société de son époque qui "rit et applaudit" à cette exécution.

L'œuvre est découpé en trois lieux : Bicêtre : le procès, la Conciergerie : le voyage vers Paris, rencontre avec un autre condamné à mort, l'Hôtel de ville : le voyage à Paris, la toilette d'un condamné et le voyage vers la place de Grève où est installé l'échafaud.

Résumé 4

Un condamné à mort raconte sa condamnation, son séjour à Bicêtre, puis à la Conciergerie, décrit les préparatifs de son exécution, sa dernière toilette, le voyage en charrette vers l'échafaud, ses impressions durant les quelques instants de délai qui lui sont accordés, mais qui vont bientôt s’achever.

Le spectacle du départ des forçats, les noms des condamnés qui l'ont précédé dans sa cellule, la complainte qu'il entend chanter en argot, sa conversation avec le stupide greffier, avec le prêtre, avec les geôliers, avec sa petite fille, tels sont les derniers objets qui occupent sa pensée.

 Ses angoisses, son horreur devant l'idée de la mort font de cette « agonie de trois cents pages » une œuvre d'une « atroce et horrible vérité » (J. Janin).

 L'auteur avait choisi ce sujet pour sa valeur dramatique. Dans sa Préface de 1832, Victor Hugo insiste surtout sur sa portée sociale comme attaque contre la peine de mort. La quatrième édition contient une sorte de préface en dialogue : Une comédie à propos d'une tragédie, dans laquelle l'auteur défend son œuvre contre les critiques.

 

Résumé 5

 Histoire : Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné à mort et, il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et vivre avec cet homme ce que veut dire être condamné à mort. Il nous raconte sa vie en prison ; nous parle de ses sentiments ; peurs et espoir, de sa famille ; sa fille, sa femme et sa mère. Il raconte aussi quelques bribes de son passé et cesse d’écrire quand arrive le moment de l’exécution.

Composition : Le livre comporte trois parties : Bicêtre, la Conciergerie et la Mairie. Bicêtre : le procès, le ferrage des forçats et la chanson ; La Conciergerie : le voyage vers Paris, la rencontre avec la friauche et la rencontre avec le geôlier qui lui demande les numéros pour jouer à la loterie ; L’Hôtel de Ville : le voyage dans Paris, la toilette du condamné et le voyage vers la Place de Grève : l’échafaud.

Voir aussi :👍👍👍👍

 

 

 

 

 

 

 

Résumé détaillé dernier jour d'un condamné Victor Hugo


https://youtu.be/GcdMMHpvHqE

Dernier jour d'un condamné

Résumé détaillé dernier jour d'un 
condamné Victor Hugo 

Bicêtre: du chapitre I au chapitre XXI

Chapitre I

Depuis cinq semaines, dans sa cellule à Bicêtre un jeune condamné se rappelle sa situation d’homme libre autrefois par rapport à sa situation réelle d’homme captif, obsédé par l'idée de la mort qui le poursuit partout en gâchant son sommeil.

Chapitre II

Le narrateur revient sur le jour de la proclamation de sa condamnation à mort dans la salle d’audience: Il décrit les circonstances de son procès et ce sentiment de clôture entre lui et le monde qui prend la couleur d’un linceul après ce jugement fatal. 

Chapitre III

le condamné semble accepter ce verdict en pensant que tous les hommes sont condamnés à mort un jour ou l’autre. Il est alors soumis à son destin. 

Chapitre IV 

Il est alors transféré dans une cellule hideuse à Bicêtre où il a passé cinq semaines.IL décrit brièvement cette hideuse prison.

Chapitre V

Dès l’arrivée du narrateur à Bicêtre, les gardes ont multiplié les précautions pour empêcher son suicide, ensuite on lui a remis une camisole. 
Grâce à sa jeunesse, sa docilité et à quelques mots en latin, on lui a accordé des faveurs comme la promenade hebdomadaire , le papier, l’encre, une lampe et des plumes pour écrire. En plus, à l’heure de la récréation, on le lâche dans le préau pour causer avec les autres détenus qui lui ont appris à parler argot. 

Chapitre VI  

Après hésitation, le condamné décide d'écrire le journal de ses souffrances pour se divertir, pour oublier sa situation de condamné et pour contribuer à l'abolition de la peine capitale en s’adressant à ceux qui jugent et qui condamnent afin de les sensibiliser surtout à cette lente succession de torture qui commence par l’arrêt de mort et se termine dans la place de Grève .

Chapitre VII

Le désespoir du condamné qui s’interroge sur l’importance de ce journal après sa mort en espérant qu’il puisse être utile à d’autres lorsqu’il s’agit de sauver des têtes qui pensent du couteau de la guillotine. 

Chapitre VIII 

 Le narrateur commence à compter les jours sans s’assurer du temps qu’il a passé à Bicêtre( cinq ou six semaines) .

Chapitre IX

Le condamné vient de faire son testament. Il pense à sa famille, victime de la loi, qui va rester après sa mort sans protection ni ressources, en s’inquiétant surtout pour sa fille Marie, âgée de trois ans.

Chapitre X

Le condamné nous décrit son cachot de l’intérieur vers l’extérieur afin de dévoiler la situation misérables des condamnés en l’absence des conditions minimales pour une vie décente: ni porte ni soupirail, une porte dominée par le fer, un matelas en paille et un garde en permanence. 

Chapitre XI

Le condamné décrit les traces laissées aux murs de son cachot par d’autres qui l’ont précédé: écritures, dessins, figures bizarres, noms des criminels…Mais arrêté devant l’image épouvantable de l’échafaud, il est tellement ému, terrifié en 
pensant qu’on le dresse pour son exécution.

Chapitre XII

Le narrateur-personnage reprend la lecture de son mur après avoir dissipé son effroi qui est dû à la vue de l’échafaud, il découvre les noms des criminels qui l’ont précédé à ce cachot: Dautun qui a coupé son frère en quartiers, Poulain qui a assassiné sa femme, Jean Martin qui a tué son père, le médecin Casting qui a empoisonné son ami, le fou Papavoine qui tuait les enfant à coup de couteau sur la tête. 

Chapitre XIII

Un jour, il assiste depuis une autre cellule à la scène barbare du ferrement des forçats (enchaînement des prisonniers condamnés aux travaux forcés) qui a eu lieu dans la cour de la prison. Après ce ferrement , les misérables forçats, traités comme des bête vont partir au bagne de Toulon. À la fin du spectacle tous les prisonniers le désignent en lui rappelant avec un ton moqueur sa mort , il tombe
évanoui. 

Chapitre XIV

Il est alors transféré à l'infirmerie où il se sent plus libre. Réveillé par le bruit des charrettes transportant les forçats, il pense que sa situation de condamné est mille fois mieux que celle de ces prisonniers.

 Chapitre XV 

Une fois retourné au cachot, le désespoir le laisse penser à l'évasion, à l’impossibilité d’être gracié puisque ceux qui jugent et qui condamnent pensent qu’il doit donner l’exemple aux autres, il est alors sûr qu’il n’y a que trois pas qui le sépare de la mort: Bicêtre, la Conciergerie, la Grève. 

Chapitre XVI

Il se souvient de la chanson en argot d’une jeune de quinze ans lorsqu’il était à l’infirmerie , cette complainte parle de la mort: le condamné alors est à la fois terrifié par l’évocation de la mort et touché par sa voix douce et velouté. Il pense finalement que la prison détruit tout. 

Chapitre XVII

Le condamné rêve de liberté, il s’imagine en dehors de la prison dans le port pour s’embarquer en Angleterre, mais son rêve était brisé par l’arrivée d’un gendarme .

Chapitre XVIII

À six heures du matin, le guichetier demande au condamné ce qu’il désire à manger. Il comprend alors que son exécution aura lieu le jour même.

Chapitre XIX

Le directeur, en personne lui rend visite , en se montrant gentil. Il lui demande à son tour ce qu'il désire: le condamné est certain que c’est son dernier jour. 

Chapitre XX

Le condamné trouve que la prison est partout autour de lui, elle apparaît sous toutes les formes: humaines(les guichetiers) comme sous la forme de grille, de verrou, de porte et de murs …Elle l’enferme, le surveille et le torture. Terrifié, il s’interroge sur son devenir, sur ce qu’il vont faire de lui. 

Chapitre XXI

Le condamné reçoit la visite du prêtre pour ses dernières prières puis celle de l'huissier de justice qui lui annonce le rejet de son pourvoi en l’informant que son exécution aura lieu le même jour à la place de Grève. Pris par la terreur et le désespoir, il pense vainement à l’évasion. 

     la Conciergerie: du chapitre XXII au chapitre XLVII

Chapitre XXII

Le prisonnier est transféré à la Conciergerie accompagné du prêtre et de l'huissier.
Il ils y arrivent à huit heures trente. Il s’était déjà formé une foule sur son passage. 

Chapitre XXIII

Il est placé dans une cellule où il fait connaissance d'un autre condamné (le friauche) : qui occupera son ancien cachot de Bicêtre et qui sera exécuté dans six semaines. Ce friauche, fils d’un ancien condamné à mort, lui raconte son histoire et s'empare de sa redingote.

Chapitre XXIV

Le condamné est enragé contre le friauche qui lui a pris sa veste( il ne lui a pas donné), mais il était plus fort que lui. Il a peur d’être battu par ce voleur en cas de refus.

Chapitre XXV

Il est par la suite transféré dans une autre cellule où on lui rapporte sous sa demande une chaise, un lit et ce qu'il faut pour écrire. Mais, un gendarme est installé avec lui pour empêcher toute tentative de suicide.

Chapitre XXVI

Il est dix heures (il lui reste six heures), le prisonnier plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera méprisée et repoussée à cause de lui. Il s’adresse à sa petite fille en accusant ceux qui condamne d’être responsables de son sort fatal et du devenir de sa fille après sa mort (elle sera orpheline). Il n’arrive plus à croire qu’il va mourir avant la fin de ses jours.

Chapitre XXVII

Le condamné est hanté par la guillotine. Terrifié, il ne peut même écrire le mot ‘’guillotine’’. Il se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud en évoquant le médecin de malheur qui a inventé cette machine.

Chapitre XXVIII

Le condamné se rappelle avoir vu la guillotine: une espèce d’estrade en bois rouge.

Chapitre XXIX

Le condamné se révolte contre la peine de mort en espérant la grâce royale qui ne vient toujours pas et pense maintenant( assistant au ferrement des forçats humiliés, il préfère mille fois la mort que d’être forçat) que les galères seraient la meilleure solution en attendant cette grâce car un forçat malgré tout est vivant. 

Chapitre XXX

Le prêtre revient voir le condamné pour l’assister et le consoler mais la rencontre tourne en malentendu car le prêtre croit que le condamné est un impie(incroyant) et le condamné le trouve insensible à sa situation et ses paroles sont machinales. 
Ensuite, il manque d’appétit bien que la table soit délicate, il est incapable de manger. 

Chapitre XXXI

La visite de l’architecte qui informe le condamné d’un ton ironique que la rénovation de la prison aura lieu dans six mois: le gendarme lui a répondu qu’il ne faut pas parler si haut dans la chambre d’un mort. 

Chapitre XXXII

Le nouveau gendarme stupide et superstitieux demande au condamné de le visiter dans ses rêves après son exécution pour lui accorder les trois bons numéros gagnants à la loterie. Le condamné lui demande en contrepartie ses vêtements mais le gendarme n’a pas accepté car pour avoir les bons numéros le >condamné doit mourir et non s’enfuir.

Chapitre XXXIII

Pour oublier sa situation de condamné le narrateur pense à ses souvenirs d'enfance et à sa jeunesse, à sa famille et à Pépa: l'espagnole dont il était amoureux .

Chapitre XXXIV

Il est une heure, le condamné révèle son repentir vis à vis de son crime mais il avoue à ceux qui jugent qu'il n'était pas méchant malgré son crime. Il pense à sa liberté d’autrefois en regrettant sa mort dans quelques heures.

Chapitre XXXV

Le condamné pense qu’au moment où il ne lui reste que quelques heures à vivre d’autres personnes continuent à vivre normalement en exerçant leurs activités quotidiennes.

Chapitre XXXVI

Il se rappelle ensuite le jour où encore enfant, il est allé voir la grande cloche(le bourdon) de Notre -Dame( cathédrale à Paris).

Chapitre XXXVII

Le condamné décrit brièvement l’hôtel de ville : Il est sinistre, lugubre et sombre.

Chapitre XXXVIII

Il est une heure et quart, il éprouve une violente douleur partout , il lui reste deux heures quarante cinq minutes à vivre: La plume tombe de ses mains comme par une secousse électrique.

Chapitre XXXIX

Enragé, il attaque violemment ceux qui pensent que la condamnation par la guillotine ne fait pas souffrir en se demandant comment peuvent-ils le savoir ?
Il précise que la vraie souffrance est celle de l’esprit: Elle commence dès le jugement et se poursuit en progressant jusqu’à l’exécution. 

Chapitre XL

Le captif pense que sa vie dépend d'une signature, il pense au roi Charles X en espérant toujours sa grâce . 

Chapitre XLI

Le narrateur décide d’affronter la mort avec courage, il s’interroge sur le devenir de son âme après sa mort . l'idée de mourir le rend fou, il réclame un prêtre pour se confesser et soulager sa douleur.

Chapitre XLII

Durant son dernier sommeil (une heure) après l’arrivée du prêtre, il a fait un cauchemar et se réveille frissonnant et baigné dans une sueur froide. On lui 
annonce la présence de sa fille.

Chapitre XLIII

Malheureusement, sa petite fille Marie ne l'a pas reconnu croyant que son père était mort, d’où son désespoir absolu: Il est alors prêt pour l'exécution puisque la dernière fibre de son cœur était brisée.

Chapitre XLIV

Une heure devant le condamné pour s'habituer à la mort en pensant au bourreau, à la charrette, au gendarmes, à la foule détestable, à la place de Grève.

Chapitre XLV

Il pense à cette foule insensible à sa souffrance: Elle se prépare pour assister vivement au spectacle de son exécution. Il se dit que parmi cette foule, il y a des têtes qui le suivront, dans le panier rouge, sans le savoir: Certains de ceux qui sont venus pour assister à sa condamnation, viendront un jour pour leur propre exécution: Ils seront alors à leur tour un spectacle pour d’autres. 

Chapitre XLVI

Pensant à sa fille, le condamné se demande s’il lui reste du temps pour lui écrire son histoire:

Chapitre XLVII

Une note de l’éditeur montre que peut être cette histoire n’a pas été écrite par le condamné ou ces feuillets ont été perdus. 
L’hôtel de ville , la place de Grève: du chapitre XLVIII au chapitre XLIX:

Chapitre XLVIII

À trois heures, l’heure du condamné est arrivée , on lui demande de se préparer mais il se sent faible. On l'amène à l'hôtel de ville près de la place où il sera exécuté.
Dans une chambre de l'hôtel de ville, le bourreau et ses deux valets l’attendait. On lui a coupé les cheveux, on a attaché ses mains derrière le dos, on a coupé le collet de la chemise et ensuite on a lié ses deux pieds: C’est la toilette du condamné .
Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève. Le condamné frémit de peur devant cette foule détestable et hurlante qui l’attend. Étourdi, le condamné se sent en rupture avec ce qui l’entoure, excepté la voix de la foule. Enfin la charrette arrive à la place de Grève. Il demande une dernière faveur: écrire ses dernières volontés d’homme qui sera privée de sa vie.

Chapitre XLIX

Devenant spectacle à cette détestable foule, le condamné est terrifié, il implore la pitié, demande, au commissaire chargé de son exécution, encore une minute pour attendre sa grâce mais il est quatre heures, il entend qu’on monte l’escalier, il sera guillotiné.

Analyse texte argumentatif exemples

                                       

  Analyse du texte argumentatif

Exemples

lundi 24 janvier 2022

Analyse chapitre1Dernier jour d’un Condamné

 

Chapitre I, Le Dernier jour d’un Condamné 

Bicêtre 
Condamné à mort !  
Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids ! Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s’amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d’inépuisables arabesques cette rude et mince étoffe de la vie. 
C’étaient des jeunes filles, de splendides chapes d’évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C’était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre. Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n’ai plus qu’une pensée, qu’une conviction, qu’une certitude : condamné à mort !
Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux. Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu’on m’adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses de mon cachot ; m’obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif, et reparaît dans mes rêves sous la forme d’un couteau.
Je viens de m’éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant :— Ah ! ce n’est qu’un rêve ! — Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s’entre ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l’horrible réalité qui m’entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : — Condamné à mort !

dimanche 23 janvier 2022

La Ficelle, résumé, événements principaux



       la nouvelle réaliste: La Ficelle, Guy de Maupassant

       définition 

C’est un genre narratif emprunté au mot italien « Novella », apparu en France en 1414. 

       Les caractéristiques de la nouvelle:

  • Un récit court concentré sur une action unique.
  • Un nombre limité de personnages.
  • Un rythme accéléré.
  • Lieux et objets décrits sommairement
  • ( sans détails).
  • Le dénouement de l’histoire est inattendu: la chute.

la nouvelle réaliste:

 C’est une nouvelle qui, comme son nom l'indique, se fonde sur la réalité.

Caractéristiques de la nouvelle réaliste:

  • Elle est inspirée de faits réels. 
  • Elle évoque des lieux réels (ville, pays, rues, etc.)
  •  Elle met en scène peu des personnages, mais fortement caractérisés, dans un cadre spatio-temporel délimité.
  • Elle est centrée sur un fragment de vie ou une anecdote. 
  • Elle cherche à raconter une histoire ou un fait dans toute sa vérité.

Titre de l’œuvre : 
  ’’ La ficelle’’, écrite en 1883.
Auteur et siècle:
 Guy de Maupassant, écrivain français, auteur de romans, de nouvelles et de contes,  ( né le 5 aoûte 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arque en Seine-inférieur  (aujourd'hui Seine-Maritime)  et décédé le 6 juillet  1893 à Paris, parmi ses œuvres: ‘’Aux Champs’’ , ’’ Bel-Ami ’’, ‘’Conte du jour et de la nuit’’, ‘’Boule de Suif’’ , le 19ème siècle. 
Les indicateurs spatio-temporels: 
Les routes, le bourg, le marché, Goderville, les auberges, village de Bréauté, route de Beuzeville/jour de marché, autrefois, le lendemain, la fin de décembre, les premiers jours de janvier…  .
Genre littéraire: 
une nouvelle réaliste.
Structure de l’œuvre: la nouvelle a une structure narrative constituée généralement d’une situation initiale, un événement perturbateur, les résultats de la perturbation ( péripéties) et un dénouement souvent inattendu (la chute).
Thèmes essentiels:  la calomnie, l’injustice, la malice, la campagne, la cruauté, ...
 Type de texte dominant:  narratif- descriptif- argumentatif.
Type de phrase: déclaratif, exclamatif, interrogatif.
Registre de langue(niveau):  courant et familier. 
Les champs lexicaux dominants:
La campagne : paysan, animaux, charrue, rudes travaux, l’étable, le champ, maquignon… 
Les animaux: vache, un veau, poulets, canards, bêtes, bœufs, volailles, l’étable, le fumier, le foin, bestiale, crotte …
L’accusation: soupçon, accroire, accusait, perplexe, protester, incrédules, complice, défense, argumentation, protestations, raisons, prouver, innocence…
L’injustice: indignation, menteries, s’injurièrent, se fâchait, s’exaspérant, enfiévrer,, suffoqué, honteux, indigné,
 Les sentiments: surpris, inquiet, interdit, apeuré, colère, furieux, peur, étranglé, atterré, désolé
La moquerie: riait, plaisanter, goguenarde, les plaisants, s’amuser, 
La mort: s’épuisait, dépérissait, malade, s’affaiblissait, s’alita, mourut, l’agonie. 

Les personnage principaux 

 Maître Hauchecorne :   un paysan normand de Bréauté 
 qui souffre de rhumatismes. C’est le personnage principal de
 la nouvelle. Étant un homme économe, il a ramassé par terre
 un petit bout de ficelle, or on l’accuse d’avoir ramassé 
 le portefeuille perdu par Houlbrèque. 
Maître Malandain : un bourrelier qui réside à Goderville et 
 qui est en conflit avec maître Hauchecorne, c’est pourquoi il va 
Faire une fausse déclaration en l’accusant d’avoir voler le portefeuille.
Le maire:  c’est le notaire de l’endroit, homme gros, grave, à phrases
  pompeuses, il va interroger maître Hauchecorne  au sujet du vol du
  portefeuille du maître Houlbrèque après son accusation par maître Malandain .

Les autres personnages

Maître Jourdain : un aubergiste et maquignon, un malin qui avait des écus. 
   Toute « l'aristocratie de la charrue » mangeait chez lui.
Le brigadier : C’est lui qui est venu à l’auberge chercher maître Hauchecorne pour qu'il se présente auprès du bureau de M. le maire.
Maître Houlbrèque : le paysan qui a perdu son portefeuille sur la route.
Marius Paumelle : le valet de ferme de maître Breton qui a trouvé et rendu le portefeuille de maître Houlbrèque. 
Maître Breton : un cultivateur à Ymauville chez qui travaille Marius Paumelle.
Le crieur public : Celui qui annonça la perte du portefeuille dans toutes les places de Goderville.
Le fermier de Criquetot : le paysan qui traita maître Hauchecorne de « gros malin » en remettant en cause son innocence.
Le maquignon de Montivilliers : celui qui accusa maître Hauchecorne d'avoir fait reporter le portefeuille par un complice.
Les paysans et leurs femmes

Les évènements principaux de la nouvelle

    Le jour du marché dans le bourg normand de Goderville , maître Hauchecorne ramasse un petit morceau de ficelle, sous les yeux d’un bourrelier, Malandain, son ancien ennemi.
  Un crieur public réclame le vol d’un portefeuille appartenant au maître Houlbrèque .     
    Maître Hauchecorne est alors  accusé d’avoir trouvé et conservé le portefeuille suite au témoignage de Malandain. 
     Il est convoqué chez le maire pour s’expliquer, le pauvre a vainement tenter de prouver son innocence et qu’il a simplement ramassé une petite ficelle et non un portefeuille. 
     Le lendemain, Marius Paumelle, valet de ferme du maître Breton restitue le portefeuille qu’il a trouvé sur la route à son propriétaire;  maître Hauchecorne se croit enfin délivré. 
     Plus il raconte son histoire et plus les autres croient que c’est lui le coupable et Marius n’est que son complice dans ce vol. 
     Hauchecorne, tellement humilié par les regards accusateurs et les attitudes incrédules des habitants du village, finit par s’aliter et mourut vexé par l’injustice.


Résumé de la nouvelle:


            C’est jour de marché dans le bourg normand de Goderville où se rend un paysan, maître Hauchecorne. Ce dernier ramasse un petit morceau de ficelle, sous les yeux d’un bourrelier, Malandain, son ancien ennemi. 
Plus tard, un crieur public réclame le vol d’un portefeuille appartenant au maître Houlbrèque . Maître Hauchecorne est alors  accusé d’avoir trouvé et conservé le portefeuille suite au témoignage de Malandain. 
Il est convoqué chez le maire pour s’expliquer, le pauvre a vainement tenter de prouver son innocence et qu’il a simplement ramassé une petite ficelle et non un portefeuille. Ainsi Hauchecorne  est désigné coupable par tous ceux qu’il rencontre. 
Le lendemain, Marius Paumelle, valet de ferme du maître Breton restitue le portefeuille qu’il a trouvé sur la route à son propriétaire;  maître Hauchecorne se croit enfin délivré. 
Cependant, dans les conversations, plus il raconte son récit et plus les autres croient que c’est lui le coupable et Marius n’est que son complice dans ce vol. 
Hauchecorne, tellement humilié par les regards accusateurs et les attitudes incrédules de son entourage, finit par s’aliter et mourut vexé par l’injustice et ses derniers mots sont encore pour essayer de prouver son innocence.

















Le Chevalier Double Schéma narratif et résumé


https://youtu.be/Cwtbmzw1Txw

Schéma narratif et résumé de la nouvelle, Le Chevalier Double,  Théophile Gautier 

    Le schéma narratif

1.La situation initiale:


À vrai dire, cette partie ne constitue pas une situation initiale car elle comporte déjà un élément perturbateur: l’arrivée d’un étranger de la Bohème au château du comte Lodbrog pour demander l’hospitalité à cause du mauvais temps. Cet homme avait un caractère double et chantait devant la comtesse, la futur mère, d’étranges poésies qui troublent le cœur en tenant sur son épaule un corbeau noir. 
Dès lors, la blonde Edwige devenait triste et chagrinée, elle gardait un terrible secret qui pesait sur son cœur. 
Le mire prévoyait par ses calculs astrologiques que l’enfant subit un effet double de deux étoiles : l’une verte et l’autre rouge. Mais  Le comte lui confirme que c’est l’étoile verte qui l’emportera .

2.l’événement perturbateur:

   La naissance d’Oluf, enfant à caractère double comme le maître chanteur de la Bohème.  

3.Les péripéties:

L’échec de toutes les relations entre Oluf et les femmes à cause de sa duplicité.
La condition de Brenda, la jeune chatelaine, pour accepter son amour:« défaites-vous du chevalier à l’étoile rouge, ou je n’écouterai jamais vos propos d’amour ; je ne puis être la femme de deux hommes à la fois. »  Oluf doit alors se débarrasser de son double, le chevalier à l’étoile rouge.
Le combat acharné entre Oluf et son double, le chevalier à l’étoile rouge. Il s’agit d’un combat étrange où le vainqueur souffre autant que le vaincu, où donner et recevoir était une chose indifférente. Oluf s’est battu alors avec son propre spectre.  
 4. Le dénouement:  
La victoire d’Oluf sur son adversaire intérieur, le chevalier à l’étoile rouge dont le spectre jeta un cri et disparut. 

5. La situation finale:

Oluf revoit son amante Brenda, cette fois elle était joyeuse de voir Oluf sans compagnie de son double, le chevalier à l’étoile rouge, il s’ensuit le bonheur des deux amants.  

Résumé détaillé de l’œuvre

             Dans un château vivait le comte Lodbrog et son épouse la comtesse Edwige qui ne pleurait tout le temps, se sentant triste et chagrinée, un terrible secret pesait sur son âme, depuis qu'un étrange de la Bohême visita le palais, il demandait l'hospitalité  au comte pour une nuit mais il restait plusieurs jours  à cause du mauvais temps.
         Ainsi, durant son séjour au château, cet étranger a double caractère, (Il est à la fois bon et diabolique )  envahissait le château par des chants étranges  qui troublaient le cœur et donnaient des idées furieuses, d'où leurs effets séduisant sur l'âme de la blonde Edwige.
       Après le départ de ce maître chanteur, la comtesse donna naissance à un enfant ayant un double caractère tel l'étranger de la Bohême: Tantôt il est bon comme un ange, tantôt il est méchant comme un diable d'où la justesse des prévoyances du mire qui avait assuré que l'enfant subit un effet double de deux étoiles: l'une néfaste, c'est la rouge, l'autre bonne, c'est la verte.

        Dans ses comportements d'enfance et d'adolescence, Oluf manifestait des signes contradictoires, il souffrait alors d'une double personnalité: Deux personnages se heurtent en lui, l'un est bon et sage , l'autre est méchant et diabolique. Dès lors , à l'âge adulte,  cette duplicité entrave son bonheur et influera sur ses rapports avec les femmes. 
          Un jour, il était en rendez-vous d'amour avec sa future fiancée Brenda, mais elle   l'avait accueilli sévèrement  malgré la jungle effrayante qu'il a franchi (à dos de son cheval Mopse suivi de ses deux chiens Fenris et Murg), pour arriver chez elle.
           Ainsi, la jeune châtelaine avait refusé son amour tant qu'il accompagne son double diabolique, le chevalier à l'étoile rouge: Elle lui exige alors de se débarrasser de son double ou elle n'acceptera jamais son amour.
           Alors, Oluf, mécontent mais  courageux et d'une grande force physique, il n'hésita pas à affronter une redoutable tempête pour rejoindre son amante. Il croisa, dans un sentier très étroit un chevalier qui refusa de lui céder le passage. 
           Les deux se livrèrent un combat sanglant. Il découvre alors dans son adversaire un autre lui-même, le chevalier à l'étoile néfaste rouge dont il finit par triompher dans un singulier duel où le vainqueur souffrirait autant que le vaincu, ou donner et recevoir était une chose indifférente. À cette révélation, son double, le chevalier à l'étoile rouge jeta un grand cri et disparut.
           Finalement, Oluf revoit Brenda, cette fois si sans être accompagné de son double, la jeune avait constaté que ses yeux avaient pris la couleur de l'azur, signe de la conciliation céleste. Il s'ensuit alors le bonheur de Brenda et du jeune comte Lodbrog dont les parents reposent enfin en paix.









Rôle du père /impact de son absence

 



Le rôle du père 

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