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dimanche 24 mars 2024

Extrait 2: «le jeune Oluf ... Bohème » Le Chevalier Double Théophile Gautier

            


Le Chevalier Double Théophile Gautier 

Extrait 2: «le jeune Oluf ... Bohème »

I.La situation de l'extrait : Après le départ du maître-Chanteur, la comtesse Edwige a donné naissance à un garçon (Oluf) qui a un double caractère.

Son père le comte lodbrog à donner Un hôtel d' argent massif, un ciboire dors fin à l'église de Sainte-Ethbear. Ils voient en lui un bon soldat. 

II. L'événement perturbateur: La dualité de l'enfant:

       Le mire, par ses calculs astrologiques incontestables voit que l'enfant Oluf subit un double effet d'étoiles: « une étoile verte, dit-il, et une étoile rouge, un bon enfant et un mauvais à la fois. » 

      En effet, tantôt il paraît tout doux et tout gentil, tantôt il paraît méchant et turbulent. 

 Oluf est un enfant étrange, dans un caractère différent et double car il a subi l'effet double de deux étoiles, une verte et l'autre rouge. il ressemble au maître chanteur.

III. L'antithèse:  C'est une figure de style qui met en évidence la dualité  d'Oluf.

1.Définition: C'est la coexistence de deux termes de sens contraire à l'intérieur du même énoncé. 

2.Exemple:

 « Un jour il est blanc comme un ange, un autre jour il est méchant comme un diable. » 

«Il fait succédé à la turbulence la plus inquiète, l'immobilité la plus absolue.»

Analyse de l'incipit Le Chevalier Double Théophile Gautier

Le Chevalier Double Théophile Gautier 

Extrait 1 (l'incipit) : « Qui rend donc Edwige... fenêtre.»

I. Le rôle de l'incipit: réside dans  la présentation des personnages :

La comtesse Edwige et son état d'âme (femme enceinte, triste  depuis qu’un étranger De la bohème visita  la cité. 

L'étranger: Le maître chanteur, Un étranger qui demandait l'hospitalité pour une nuit, mais il ne peut pas quitter la cité car la trompette ne pouvait s'apaiser. Alors il resta d'autres jours et encore d'autres nuits et envahit le château par ces chants qui séduisaient la comtesse Lodbrog. 

Le lieu: Le château du comte Lodbrog.

II. L’atmosphère du fantastique:

Il faisait un terrible temps cette nuit-là:

 les tours trembler dans leur charpente, 

les girouettes piaulaient,le feu rampait dans la cheminée 

et le vent frapper à la vitre comme un important qui veut entrer. 

II. Le portrait de l'étranger: 

C'est un personnage étrange et mystérieux qui est:

Bon comme un ange mais comme un ange tombé. 

Il souriait doucement et regardait doucement, et pourtant ce regard et ce sourire vous glaçaient de terreur et vous inspiraient  l'effroi qu'on éprouve en se penchant sur un abîme. 

Une grâce scélérate, une longueur perfide comme celle du tigre qui guette sa proie, accompagner tous ces mouvements ,

Il charmait à la façon du serpent qui fascine l'oiseau. 

Son teint brun montre qu'il avait vu d'autres cieux ; il disait venir du fond de la bohème. 

III. L'impact de la visite de l'étranger: 

        À partir des champs lexicaux dominants, on peut déjà déduire l'influence de la visite de l'étranger sur la comtesse  Edwige:

la peur: terrible, tremblaient, piaulaient, glaçaient, l'effroi, s'agitait…

La  tristesse:triste, désespoir, cœur percé douleur, larme,ennui,Pleurer, pâle, Languissante... 

L'étrangeté:  l'étranger, un ange tombé, une grâce scélérate, perfide, charmait, serpent, fascine , corbeau noir étrange poésie idées furieuses…

 le mauvais temps est un prétexte de la présence de l’étranger qui rend  la comtesse tellement triste.

IV. Conclusion:  Le mauvais temps prépare déjà à l’intrusion d’un élément étrange qui est le maître-chanteur dans le cadre de la vie réelle  de la famille lodbrog et particulièrement  dans la vie de la comtesse Edwige: C'est la définition du fantastique.

vendredi 15 mars 2024

La Révolte : Un Souffle vital pour le progrès humain

La Révolte : Un Souffle vital pour le progrès humain

Depuis les temps immémoriaux, la révolte a été le moteur de changement dans notre société. Qu'elle prenne la forme de manifestations pacifiques, de révolutions violentes ou de résistances subtiles, la révolte est un phénomène intrinsèquement lié à la condition humaine. En effet, c'est à travers la révolte que les injustices sont dénoncées, que les voix marginalisées sont entendues et que les progrès sociaux sont réalisés.

Premièrement, la révolte est souvent le dernier recours des opprimés pour se faire entendre. Face à l'injustice et à l'oppression, les individus se soulèvent pour revendiquer leurs droits fondamentaux. L'histoire regorge d'exemples où des mouvements de révolte ont abouti à des avancées significatives en matière de droits de l'homme, d'égalité sociale et de justice.

Deuxièmement, la révolte est le reflet d'un désir profond de changement et de progrès. En remettant en question l'ordre établi, les révoltés ouvrent la voie à de nouvelles idées et à de nouvelles perspectives. Ils défient les normes sociales figées et créent un espace pour l'innovation et la créativité.

En outre, la révolte peut être un catalyseur pour des réformes politiques et économiques nécessaires. Lorsque les citoyens se soulèvent contre un système corrompu ou inefficace, cela met souvent en lumière les lacunes du système et pousse les dirigeants à agir pour le bien commun.

Cependant, il est important de reconnaître que la révolte n'est pas toujours facile ni sans conséquences. Elle peut être confrontée à une répression violente, à des représailles et à des sacrifices personnels. Pourtant, malgré ces défis, la révolte reste un outil essentiel pour promouvoir le changement et défendre la justice.

En conclusion, la révolte est un élément essentiel de la condition humaine. Elle incarne le courage, la détermination et la résilience des individus face à l'adversité. Plutôt que d'être perçue comme une menace, la révolte devrait être reconnue comme un instrument de progrès et de justice sociale. À travers la révolte, nous avons le pouvoir de façonner un avenir plus équitable et plus juste pour tous.

 


dimanche 4 février 2024

La Violence dans l'Enseignement : Causes, Conséquences et Limitations

La Violence dans l'Enseignement : Causes, Conséquences et Limitations

              Il est primordial de rappeler que la violence en tant que moyen de gestion de l'opération enseignement-apprentissage suscite un débat complexe parmi les éducateurs. Bien que certains puissent la considérer  comme un outil efficace, il est impératif d'analyser les causes et les conséquences de cette approche, tout en cherchant des moyens de la limiter.

 

              Nombreuses sont les causes de la violence dans l'enseignement : D’abord, elle peuvent résulter de frustrations accumulées chez les éducateurs confrontés à des défis tels que des classes surchargées, des ressources limitées et des comportements perturbateurs. Ensuite, la pression sociale et les attentes élevées peuvent également contribuer à la frustration, incitant certains éducateurs à recourir à des méthodes violentes dans le but de maintenir l'ordre.

 

Pour ce qui est des conséquences de l'utilisation de la violence dans l'enseignement ,elles sont néfastes, tant pour les enseignants que pour les apprenants. Sur le plan émotionnel, les élèves peuvent développer des sentiments de peur et d'anxiété, compromettant ainsi leur bien-être psychologique. De plus, cela peut créer un environnement d'apprentissage hostile, entravant la capacité des élèves à absorber de manière optimale les connaissances et les compétences nécessaires.

 

Dès lors, pour limiter la violence dans l'enseignement, il est impératif de mettre en place des stratégies alternatives et plus constructives telle la formation des éducateurs sur des méthodes de gestion de classe positives et efficaces . D’autre part, il est nécessaires d’encourager le dialogue et la communication ouverte entre les enseignants, les élèves et les parents afin de  contribuer à résoudre les problèmes à la source, réduisant ainsi le recours à la violence.

 

              En guise de conclusion, l'utilisation de la violence dans l'enseignement peut sembler être un moyen rapide de gestion, or, les conséquences néfastes à long terme en font une approche contre-productive. En investissant dans la formation des éducateurs et en favorisant des méthodes de gestion de classe positives, nous pouvons créer des environnements éducatifs sains et propices à un apprentissage réussi.

 

 


jeudi 7 décembre 2023

10 pratiques pour réussir sa production écrite


Dans cette vidéo, on va mettre l’accent sur la méthode efficace pour réussir sa production écrite.

 Cette présentation fournit dix  conseils pratiques pour produire un travail écrit réussi.

1 Comprendre le sujet

Analysez les instructions et les lignes directrices pour savoir ce qui est attendu.

Prenez le temps de bien comprendre le sujet de votre écriture.

2 Planifiez votre texte

      Avant de commencer à écrire, faites un peu de planification.

      Organisez vos idées et créez une structure claire.

      Identifiez les principales pièces ou sections et les points clés à couvrir.

3 Rédigez une introduction captivante

Utilisez une phrase d’accroche percutante, une anecdote intéressante ou une question provocante.

L’introduction est cruciale pour attirer l’attention du lecteur.

4 Développez vos idées de manière cohérente

Dans le corps de votre texte, développez vos idées de manière cohérente.

Concentrez chaque paragraphe sur un point spécifique étayé par des exemples, des faits ou des arguments pertinents.

5 Utilisez un langage clair et concis

1. Utilisez un langage clair, précis et pertinent.

2. Évitez les phrases longues et compliquées qui pourraient dérouter les lecteurs.

3. Faites attention à la grammaire, à l’orthographe et à la ponctuation pour une bonne lisibilité.

6  Utilisez des exemples concrets

      Pour renforcer vos idées, utilisez des exemples réels, des anecdotes, des études de cas ou des références pertinentes.

7  Structurer une conclusion solide

Évitez d’introduire de nouvelles idées, mais ouvrez des perspectives pour la réflexion future.

Résumez les points clés et fournissez une réponse à votre thèse ou une conclusion réfléchie sur le sujet.

8  Réviser et relire

Recherchez les erreurs grammaticales, les fautes d’orthographe et les incohérences.

Prenez le temps de relire vos écrits.

9 Demander à quelqu’un d’autre de relire

Ils peuvent apporter un regard neuf et des commentaires constructifs pour améliorer votre texte.

Si possible, demandez à quelqu’un d’autre de relire votre travail écrit.

10 Entraînez-vous régulièrement

      Pratiquer l’écriture régulièrement est essentiel pour améliorer vos compétences.

      Rédigez des essais, des articles, des résumés ou tout autre type de texte.

mercredi 25 octobre 2023

Résumé par chapitre de Candide de Voltaire

 



Résumé par chapitre de Candide ou l’optimisme de Voltaire

Chapitre l Résumé de Candide
L'éducation de Candide et son expulsion d'un beau château.

Dans le château de M. Baron Thunder-ten-tronckh en Westphalie, vivait un jeune garçon nommé Candide. Il possédait des manières douces et son apparence reflétait son âme. Il a été nommé Candide en raison de sa simplicité d'esprit et de son bon jugement. Les vieux domestiques soupçonnaient qu'il était le fils de la sœur de M. Baron et d'un noble gentleman qu'elle refusait d'épouser. M. Baron était un puissant seigneur de Westphalie, doté d'une grande salle et d'une tapisserie ornée. Madame la baronne, pesant trois cent cinquante livres, imposait le respect. Sa fille, Cunégonde, avait dix-sept ans et était jolie. Le fils du baron ressemblait à son père. Le précepteur, Pangloss, était considéré comme l'oracle de la maison. Il enseignait la métaphysique-théologo-cosmolo-nigologie et affirmait que tout dans le monde allait pour le mieux. Candide écoutait attentivement et croyait innocemment à ses enseignements. Un jour, Candide et Cunégonde ont eu une rencontre amoureuse derrière un paravent, qui a conduit Candide à être expulsé de force du château par M. Baron. L'incident a provoqué le chaos et la consternation dans le château.

Chapitre II :

Candide Parmi les Bulgares
Chassé du paradis, Candide errait, pleurant et regardant le ciel, attiré par un beau château. Sans abri et affamé, il arrive dans la ville de Valdberghoff-trarbk-dikdorff. Deux hommes l'invitèrent à dîner gratuitement, le proclamant héros. Candide est emmené au régiment et subit un entraînement intensif. Malgré la confusion, il a excellé. Capturé par ses camarades soldats, il a préféré les coups de fouet aux balles. Après un châtiment brutal, il chercha à être exécuté, mais le roi fit preuve de miséricorde. Il fut guéri par un chirurgien expérimenté et pris dans une bataille entre les Bulgares et les Abares.

Chapitre lII

Dans « Candide » de Voltaire, le protagoniste se retrouve pris dans une bataille entre deux armées. Malgré la scène grandiose, le carnage fait 30 000 morts. Candide se cache pendant le conflit, puis assiste aux destructions provoquées par les Bulgares et les Abares. Il s'enfuit en Hollande, dans l'espoir d'être accepté, mais est rejeté. Cependant, un anabaptiste nommé Jacques lui fait preuve de gentillesse et lui fournit de la nourriture, un abri et du travail. Candide est reconnaissant de la bienveillance de Jacques au milieu de la dureté des autres qu'il a rencontrés.

Chapitre lV

Au chapitre IV de Candide, le protagoniste rencontre son ancien professeur de philosophie, le Dr Pangloss, dans un état de misère et de désespoir. Pangloss révèle que Cunégonde, l'amoureuse de Candide, est morte, après avoir été violée et assassinée par des soldats bulgares. Pangloss lui-même a beaucoup souffert, attribuant son état actuel aux conséquences de l'amour. Il explique avoir contracté une maladie sexuellement transmissible d'une maîtresse, qui l'a reçue d'une longue chaîne d'individus. Pangloss soutient que ces maladies sont nécessaires à l'existence de produits comme le chocolat et la cochenille. Candide, déterminé à aider son ami, convainc un charitable anabaptiste nommé Jacques de les emmener sur son bateau à Lisbonne, où Pangloss est guéri de sa maladie. Cependant, leur voyage est interrompu par une violente tempête à l'approche du port de Lisbonne.

Chapitre V

Le chapitre V raconte une tempête, un naufrage et un tremblement de terre, détaillant le sort du Dr Pangloss, de Candide et de l'anabaptiste Jacques. La moitié des passagers du navire étaient indifférents, tandis que les autres priaient et pleuraient. Le navire était dans le chaos, avec les voiles déchirées et les mâts brisés. Alors qu'il assistait aux manœuvres du navire, Jacques fut heurté par un marin en colère et tomba à la mer. Candide l'a sauvé, mais le marin a laissé Jacques se noyer. Le navire a coulé, ne laissant en vie que Pangloss, Candide et le marin qui a noyé Jacques. Ils atteignirent le rivage sur une planche. À Lisbonne, ils ont été témoins d’un tremblement de terre dévastateur qui a coûté la vie à trente mille personnes. Malgré le drame, le marin s'est livré à la débauche. Blessé par des débris, Candide mendie du vin et de l'huile, ce qui incite Pangloss à philosopher sur les causes du tremblement de terre. Le lendemain, ils ont trouvé du ravitaillement et ont aidé les survivants. Pangloss a consolé les victimes avec sa conviction que tous les événements se déroulent pour le mieux, même en cas de désastre. Un homme noir de l'Inquisition a contesté les vues de Pangloss sur le péché originel et la liberté, mais avant qu'il puisse répondre, le serviteur de l'Inquisition l'a interrompu.

Chapitre VI

Au chapitre VI de « Candide », un tremblement de terre dévastateur détruit les trois quarts de Lisbonne. Les sages décident qu’un grand autodafé est le meilleur moyen d’empêcher de nouvelles destructions. L'Université de Coimbra estime que brûler vives quelques personnes lors d'une cérémonie empêchera la terre de trembler. Un Biscayen qui a épousé sa marraine et deux Portugais qui ont retiré le saindoux d'un poulet sont capturés. Le docteur Pangloss et Candide sont également pris, Pangloss pour parler et Candide pour écouter. Ils sont placés dans des appartements frais séparés. Huit jours plus tard, ils sont vêtus de robes et de mitres. La mitre et la robe de Candide ont des flammes renversées et des diables sans queue ni griffes, tandis que les diables de Pangloss ont des queues et des griffes et leurs flammes sont verticales. Ils participent à une procession, écoutant un sermon et de la musique. Candide reçoit une fessée pendant qu'ils chantent. Le Biscayen et les deux hommes qui ont refusé de manger du saindoux sont brûlés et Pangloss est pendu. La terre tremble à nouveau le même jour. Accablé, Candide revient sur la mort tragique de Pangloss, l'anabaptiste, et de Cunégonde. Il est abordé par une vieille femme qui lui dit de prendre courage et de la suivre.

Résumé de Candide

Chapitre VII 

Dans le chapitre VII de « Candide », le protagoniste suit une vieille femme dans une petite maison où elle lui donne à manger, à boire et un lit. Elle lui dit de manger, de dormir et d'utiliser de la pommade. Elle promet de revenir le lendemain. Malgré ses épreuves, Candide mange et dort. Le lendemain, la vieille femme apporte le petit-déjeuner et lui applique différentes pommades sur le dos. Elle continue de lui apporter des repas et de s'occuper de lui pendant deux jours. Candide demande qui elle est et comment il peut la rembourser, mais elle reste silencieuse. Le troisième jour, elle l'emmène dans une maison isolée. A l'intérieur, elle dévoile une femme couverte qui est Cunégonde. Candide s'évanouit, mais tous deux sont ranimés par la vieille femme. Ils s'embrassent et partagent leurs histoires. Candide raconte tout et Cunégonde pleure la mort de l'anabaptiste et de Pangloss. Elle demande alors à Candide de lui raconter ce qui s'est passé depuis leur dernière rencontre. Candide obéit avec empressement et Cunégonde écoute.

Chapitre VIII

 Au chapitre VIII de Candide de Voltaire, Cunégonde raconte à Candide son histoire tragique. Les Bulgares ont attaqué le château de sa famille, tuant son père et son frère et démembrant sa mère. Cunégonde a été violée par un grand soldat bulgare et poignardée au côté gauche. Elle devint prisonnière de guerre et vendue à un juif, don Issachar, qui la partagea avec le Grand Inquisiteur. Cunégonde a résisté aux deux hommes, croyant que sa vertu était la raison pour laquelle elle était aimée. Elle a été témoin d'un autodafé au cours duquel Pangloss, son ancien précepteur, a été exécuté. Cunégonde est choquée et déçue de voir Pangloss, qui, selon elle, l'avait trompée par son optimisme. Accablée par ses traumatismes passés, Cunégonde est heureuse de retrouver Candide et l'invite à souper. Le chapitre se termine avec l'arrivée de don Issachar pour faire valoir ses droits et exprimer son amour pour Cunégonde.

Chapitre IX

Dans ce chapitre du « Candide » de Voltaire, Issachar, un Hébreu en colère, devient furieux lorsqu'il découvre Candide partageant Cunégonde avec lui. Issachar attaque Candide avec un poignard, mais Candide, armé d'une épée de la vieille femme, se défend et tue Issachar. Le Grand Inquisiteur arrive et est témoin de la scène, faisant peur à Candide qui tue précipitamment l'Inquisiteur. Cunégonde est choqué, mais Candide justifie ses actes par la jalousie, l'amour et la cruauté subie par l'Inquisition. La vieille femme propose de s'enfuir sur trois chevaux andalous, en emportant les bijoux de Cunégonde, et de se rendre à Cadix. Les autorités enterrent l'Inquisiteur dans une église, tandis que le corps d'Issachar est jeté. Candide, Cunégonde et la vieille continuent leur voyage et conversent dans une taverne d'Avacéna.

Chapitre X

Dans "Candide" de Voltaire, chapitre 10, les personnages principaux - Candide, Cunégonde et la vieille femme - arrivent à Cadix après avoir été dévalisés. Ils envisagent de vendre un cheval pour survivre et rencontrent un prieur bénédictin qui l'achète. Ils atteignent Cadix et rejoignent une flotte se préparant à combattre les prêtres jésuites au Paraguay. Candide devient capitaine et monte à bord du navire avec Cunégonde, la vieille femme, deux domestiques et deux chevaux du Grand Inquisiteur du Portugal. Pendant le voyage, ils discutent de la philosophie de Pangloss et de l'espoir d'un monde meilleur. Cunégonde partage son traumatisme et la vieille femme révèle des informations intrigantes.

Chapitre XI

Dans les chapitres 10 et 11, une vieille femme raconte son histoire d'ancienne princesse, fille du pape Urbain X et princesse de Palestrina. Elle détaille son éducation privilégiée et ses fiançailles avec un prince. La tragédie survint lorsque son fiancé mourut subitement après avoir consommé du chocolat à la demande d'une vieille marquise. Par la suite, elle et sa mère entreprirent un voyage dans un magnifique domaine près de Gaeta. Cependant, leur navire fut attaqué par des pirates, ce qui conduisit à leur capture. La vieille femme raconte les événements pénibles qui ont suivi, notamment le fait d'avoir été violée et déshabillée. Finalement, ils atteignirent le Maroc, une ville ravagée par les guerres civiles. Ses ravisseurs se sont battus pour elle et ses compagnons, entraînant leur mort brutale. Elle réussit à s'échapper et chercha refuge sous un oranger, où elle rencontra un homme qui se lamentait sur son malheur.

Chapitre XII

 Dans le chapitre X du roman, la Vieille Femme raconte son malheur. Surprise et heureuse d'entendre sa langue maternelle, elle répond à l'homme en lui expliquant qu'il existe des malheurs plus grands que le sien. Elle raconte des horreurs endurées comme avoir été vendue comme esclave, avoir été témoin de la mort horrible de sa mère, souffrir de la famine et de la guerre et contracter la peste en Algérie. Elle révèle avoir été vendue à plusieurs reprises et avoir traversé différentes villes avant d'atteindre la Russie. Là, elle devient servante et subit des abus jusqu'à la mort de son maître. Plus tard, elle a travaillé dans différentes tavernes avant de devenir la servante de Don Issachar, un juif, et de finalement rencontrer la baronne sur un bateau. La Vieille Femme encourage la Baronne à dialoguer avec les autres passagers et à écouter leurs histoires de malheur pour une meilleure compréhension du monde.

Chapitre XIII

 Au chapitre XIII de « Candide », Cunégonde écoute respectueusement l'histoire de la vieille femme. Elle accepte la proposition et demande aux autres passagers de partager leurs aventures. Candide et Cunégonde sont d'accord avec la vieille et regrettent l'exécution de Pangloss, estimant qu'il aurait pu faire la lumière sur les maux du monde. Au fur et à mesure que chacun raconte son histoire, le navire continue sa route. Ils atteignent Buenos Aires, où Cunégonde, Candide et la vieille rendent visite à l'arrogant gouverneur Don Fernando. Don Fernando s'intéresse à Cunégonde et demande si elle est la femme du capitaine. Candide, voulant être honnête, dit que Cunégonde l'épousera et demande au gouverneur de célébrer le mariage. Pendant que le gouverneur passe du temps avec Cunégonde, Candide reçoit l'ordre d'inspecter sa société. Le gouverneur déclare son amour à Cunégonde et promet de l'épouser le lendemain. La vieille conseille à Cunégonde d'épouser le gouverneur pour assurer leur avenir. Pendant ce temps, un navire transportant des fonctionnaires arrive, poursuivant les meurtriers du Grand Inquisiteur. Il est révélé qu'un frère a volé les bijoux de Cunégonde. La vieille comprend que Cunégonde ne peut pas fuir et lui assure que le gouverneur la protégera. Elle prévient Candide qu'il doit fuir car il est sur le point d'être brûlé. Ils doivent se séparer de Cunégonde et trouver refuge.

Chapitre XIV

 Au chapitre XIV de Candide de Voltaire, Candide et son serviteur Cacambo arrivent au Paraguay et sont emmenés au quartier général des Jésuites. Cacambo, qui est métis, a exercé différents métiers avant de devenir le serviteur de Candide. Il leur propose de rejoindre les Jésuites, en guerre contre l'Espagne et le Portugal au Paraguay. Ils sont accueillis par le commandant et leur disent d'attendre le père provincial avant de parler. Candide et Cacambo sont surpris de découvrir que le commandant est en réalité le frère de Cunégonde, l'amoureux de Candide. Ils s'embrassent et partagent leur étonnement face aux coïncidences. Candide révèle que Cunégonde est bien vivante à Buenos Aires et qu'ils étaient venus lutter contre les Jésuites.

Chapitre XV

 Dans « Candide » de Voltaire, chapitre XV, Candide rencontre son vieil ami, le baron. Le baron partage son passé tragique : témoin du meurtre de ses parents, de la violation de sa sœur et de l'enterrement de sa famille. Il explique ensuite comment il est devenu jésuite et a été envoyé au Paraguay comme prêtre et soldat. Le baron envisage de sauver sa sœur du gouverneur de Buenos Aires, et Candide assure qu'il sait où elle se trouve. Cependant, la conversation tourne au vinaigre lorsque le baron découvre l'intention de Candide d'épouser sa sœur. En colère, le baron frappe Candide avec son épée. En état de légitime défense, Candide empale le baron mais regrette aussitôt son geste. Le fidèle compagnon de Candide, Cacambo, le déguise en jésuite et ils s'enfuient à cheval, se faisant passer pour un prêtre en mission.

Chapitre XVI

 Au chapitre XVI, Candide et Cacambo explorent au-delà du camp et tombent sur une jolie prairie. Pendant que leurs chevaux broutent, ils entendent des cris et croisent deux jeunes filles nues poursuivies par des singes. Candide, habile au tir, sauve les filles en tuant les singes. Étonnamment, les filles embrassent les singes morts et pleurent sur eux. Cacambo explique que les singes étaient leurs amants. Ils continuent et finissent par s'endormir dans les bois. A leur réveil, ils se retrouvent capturés par les Oreillons, qui se croient à tort jésuites. Cependant, une fois le malentendu résolu, Candide et Cacambo sont libérés et traités avec bienveillance. Ils sont ensuite guidés jusqu'à la frontière des Oreillons, où ils poursuivent leur voyage vers l'Eldorado.

Chapitre XVII

 Dans « Candide » de Voltaire, chapitre XVII, Candide et Cacambo atteignent l’Eldorado. Au lieu de retourner en Europe, ils envisagent d'aller chercher de l'aide à Cayenne. Le voyage est difficile à cause des montagnes, des rivières, des brigands et des sauvages. Ils trouvent leur subsistance près d’une rivière plantée de cocotiers. Cacambo suggère d'utiliser une pirogue pour poursuivre leur voyage. Ils franchissent des rapides dangereux et arrivent sur une terre cultivée avec une frontière montagneuse inaccessible. Dans un village, les enfants laissent tomber de l'or, des rubis et des émeraudes en jouant. Candide suppose qu'ils sont les enfants du roi et s'étonne de leur indifférence à l'égard de la richesse. Ils entrent dans une auberge luxueuse et se voient servir un repas extravagant par des marchands et des charretiers polis. Les aubergistes refusent les pièces d'or de Candide, expliquant que le gouvernement prend en charge toutes les dépenses. Ils assurent à Candide et Cacambo qu'ils seront accueillis et bien traités dans tout le pays. Les deux hommes sont émerveillés par cette utopie unique.

Chapitre XVIII

Dans "Candide" de Voltaire, Cacambo découvre grâce à son hôte l'existence d'un vieil homme de l'Eldorado. Ils rendent visite au vieil homme dans une maison aux portes argentées et aux murs lambrissés d'or. La conversation couvre l'histoire, le gouvernement, les coutumes et la religion d'Eldorado. Le vieil homme explique que les habitants d'Eldorado, descendants des Incas, ont choisi l'isolement pour protéger leur innocence et leur bonheur. Ils adorent un Dieu unique et manquent de prêtres ou de religion formelle. Candide en est impressionné et le compare à sa propre patrie. Lui et Cacambo décident de quitter Eldorado avec des richesses pour retrouver Cunégonde. Le roi d'Eldorado leur fait ses adieux et leur donne une machine, des fournitures et des trésors pour leur voyage.

Chapitre XIX

 Au chapitre XIX, Candide et Cacambo atteignent le Surinam avec l'espoir d'une nouvelle richesse. Mais leur voyage se détériore car ils perdent la plupart de leurs moutons à cause de malheurs. Le Surinam révèle la dure réalité de l'esclavage à travers un esclave grièvement blessé. Candide abandonne son optimisme et cherche un bateau pour Buenos Aires pour sauver Cunégonde. Le capitaine espagnol refuse leur demande en raison du puissant amant de Cunégonde. Candide projette que Cacambo aille seul se retrouver à Venise. Au Surinam, Candide est trompé et volé par un capitaine de navire alors qu'il cherchait un autre navire pour l'Italie. Désespéré, il demande justice à un juge néerlandais qui lui extorque de l'argent. Finalement, il monte à bord d'un navire français à destination de Bordeaux et offre une récompense à la personne la plus misérable. Un pauvre érudit, abandonné par sa famille et persécuté par le clergé, est choisi par Candide.

Chapitre XX

Au chapitre XX, Candide et Martin mettent le cap sur Bordeaux. Ils s'engagent dans des discussions sur le mal moral et physique, Candide gardant l'espoir de retrouver Cunégonde et Martin exprimant ses convictions manichéennes. Au cours de leur conversation, ils assistent à une bataille navale au cours de laquelle un navire français coule un bateau pirate néerlandais. Candide est soulagé de retrouver une de ses brebis perdues flottant dans la mer. Ils continuent leur voyage, s'engageant dans des débats permanents, mais Candide reste déterminé à retrouver Cunégonde.

Chapitre XXI

 Au chapitre XXI, Candide et Martin discutent de leurs expériences en France. Martin évoque des voyages à travers les provinces et l'observation de différents types d'habitants : fous, rusés, simples d'esprit et intellectuels. Il note que l’amour, les commérages et les bêtises sont des préoccupations courantes. Interrogé sur Paris, Martin le décrit comme chaotique et peu épanouissant. Il partage sa malheureuse expérience d'avoir été volé et pris pour un voleur, ce qui a conduit à l'emprisonnement. Candide exprime son désintérêt pour la France, car son objectif est de retrouver Cunégonde à Venise. Martin accepte de l'accompagner, mentionnant l'hospitalité de Venise envers les étrangers munis d'argent. Ils discutent également de l'origine de la Terre et de l'humanité. Le chapitre se termine avec leur arrivée à Bordeaux.

Résumé de Candide

Chapitre XXII

Au chapitre 22, Candide et Martin se rendent à Bordeaux. Candide vend de l'or et achète une voiture. Il donne ses moutons à l'Académie de Bordeaux. Ils se dirigent vers Paris et rencontrent de nombreux voyageurs. Intéressé, Candide décide de visiter Paris. Il tombe malade mais est soigné. Martin parle de sa maladie passée à Paris. Malgré sa maladie, Candide aime ses invités et les jeux de hasard. Il aime une actrice qui ressemble à Cunégonde. Ils vont à une pièce de comédie et discutent de littérature française. Ensuite, ils jouent chez une marquise. Candide perd de l'argent mais cela ne le dérange pas. Il apprend que Cunégonde est malade à Venise et envisage de s'y rendre. Mais lui et Martin sont arrêtés. Ils peuvent être libérés avec trois diamants chacun. Candide accepte et est emmené à Dieppe. Ils montent à bord d'un navire néerlandais vers l'Angleterre, pas vers Venise.

Chapitre XXIII

Au chapitre XXIII, Candide et Martin arrivent sur les côtes d'Angleterre et observent la folie et la cruauté du monde. Ils discutent de la guerre en cours entre l'Angleterre et la France pour quelques acres de terres au Canada et des coûts excessifs qui y sont associés. En arrivant à Portsmouth, ils assistent à l'exécution publique d'un amiral jugé pas assez proche d'un amiral ennemi lors d'une bataille. Choqué par ce qu'ils voient, Candide décide de poursuivre son voyage jusqu'à Venise sans même mettre les pieds sur le sol anglais.

Chapitre XXIV

Au chapitre 24, Candide arrive à Venise et cherche Cacambo, mais ne le trouve pas. Il devient de plus en plus mélancolique et croit que Cunégonde doit être morte. Candide rencontre un jeune moine, Frère Giroflée, accompagné d'une belle fille nommée Paquette. Candide les invite à dîner et apprend que Paquette est la même femme qui avait séduit Pangloss, provoquant sa maladie. Paquette raconte à Candide sa vie tragique de prostituée et Frère Giroflée avoue son malheur de moine. Malgré leur bonheur apparent, Candide se rend compte que leur vie est loin d'être idéale. Candide leur donne de l'argent mais doute que cela les rende vraiment heureux.

Chapitre XXV

Candide et Martin rendent visite au noble Pococurante à Venise. Ils sont reçus avec politesse mais sans enthousiasme. Candide fait l'éloge des servantes, mais Pococurante les trouve ennuyeuses. Candide aime les tableaux, mais Pococurante les rejette, les trouvant manquant de nature. Il critique la musique et l'opéra. Pococurante n'aime pas les œuvres littéraires célèbres, notamment Homère, Virgile et Horace. Il rejette les travaux de Cicéron et juge inutiles les écrits scientifiques et théologiques. Pococurante apprécie la liberté de pensée de la littérature anglaise, mais critique sa corruption. Candide est découragé, mais Martin est d'accord. Candide se rend compte que le vrai bonheur réside dans les retrouvailles avec Cunégonde.

Chapitre XXVI

Au chapitre XXVI, Candide et Martin dînent avec six inconnus dans la même auberge. Cacambo, porté disparu, apparaît soudain et annonce à Candide que Cunégonde est à Constantinople. Fou de joie, Candide envisage de partir après le souper. Pendant qu'ils mangent, des choses étranges se produisent : des serviteurs informent les étrangers de leurs voitures et bateaux prêts. Candide et Martin pensent que c'est une farce, mais se rendent compte plus tard que les étrangers sont des monarques exilés cherchant du réconfort à Venise. Chaque monarque partage son histoire et les cinq rois sont émerveillés par la générosité de Candide lorsqu'il offre au roi Théodore un diamant précieux. À la fin du dîner, quatre autres membres de la famille royale exilés arrivent, mais la priorité de Candide est de retrouver Cunégonde à Constantinople.

Chapitre XXVII

Le chapitre XXVII du Candide de Voltaire suit le voyage de Candide à Constantinople avec son serviteur Cacambo. Ils rencontrent six rois détrônés à Venise et se demandent si d'autres princes ont subi le même sort. Candide est ravi de retrouver Cacambo mais est dévasté d'apprendre que Cunégonde est désormais esclave et a perdu sa beauté. Cacambo explique qu'ils ont été trompés par un gouverneur et un pirate, ce qui a conduit à leur situation actuelle. Malgré les défis, Candide reste déterminé à sauver Cunégonde. Au cours de leur voyage, Candide croise deux forçats qui ressemblent à son ancien mentor Pangloss et au baron qu'il a tué. Il propose une grosse rançon au capitaine du navire pour leur libération. A Constantinople, Candide vend des diamants pour assurer leur liberté et promet de rembourser l'argent. Le chapitre se termine par leur plan pour sauver Cunégonde, qui travaille pour un prince de Transylvanie.

Chapitre XXVIII

 Au chapitre 28, Candide s'excuse auprès du baron de l'avoir poignardé et demande comment il s'est retrouvé dans la galère. Le baron explique qu'après avoir été soigné par un apothicaire universitaire, il a été kidnappé par un groupe espagnol et emprisonné à Buenos Aires. Il demande alors à retourner à Rome mais est nommé aumônier à Constantinople. Là, il fut puni de cent coups de fouet et envoyé aux galères pour avoir été trouvé nu avec un jeune musulman. Pangloss, que l'on croyait mort après avoir été pendu, raconte son histoire d'avoir été disséqué par un chirurgien mais s'est enfui effrayé, laissant Pangloss vivant. Il devient ensuite serviteur puis galérien. Ils discutent tous les deux de leurs expériences et Pangloss maintient sa philosophie selon laquelle tout va pour le mieux dans ce monde, comme il croit en la théorie de Leibnitz sur l'harmonie préétablie.

Chapitre XXIX

Au chapitre XXIX, Candide et d'autres discutent d'aventures et débattent de philosophie. Ils atteignent la demeure du prince de Transylvanie sur les rives de la Propontide. Cunégonde et la vieille les saluent en étendant les serviettes. Candide est choqué de voir Cunégonde échevelée mais l'embrasse quand même. Il décide de racheter Cunégonde et la vieille. La vieille femme suggère de s'installer dans une ferme voisine jusqu'à ce que leur fortune s'améliore. Cunégonde insiste pour que Candide tienne sa promesse de l'épouser. Cependant, le baron refuse que sa sœur épouse une personne de bas statut. Malgré les supplications de Cunégonde, le baron reste inébranlable. Candide menace de le tuer mais s'abstient. Le baron déclare que Candide n'épousera jamais Cunégonde de son vivant.

Chapitre XXX

Au chapitre XXX de Candide, Candide envisage à contrecœur d'épouser Cunégonde en raison de l'impertinence du baron. Cherchant conseil à Pangloss, Martin et Cacambo, Pangloss suggère un mariage non officiel, Martin propose de jeter le baron à la mer et Cacambo suggère de le rendre à son patron puis de l'envoyer à Rome. Le plan est exécuté, ils punissent également un baron allemand et attrapent un jésuite. Cependant, la vie de Candide prend une tournure inattendue lorsqu'il est trompé par les Juifs et se retrouve avec seulement sa petite ferme. Sa femme et la vieille femme deviennent de plus en plus difficiles et Cacambo est épuisé. Ils participent à des débats, sont témoins de troubles politiques et rencontrent un sage turc qui leur enseigne l'importance du travail acharné. Ils décident de se concentrer sur leur jardin et de trouver du contentement dans une vie simple.

 

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