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mercredi 26 avril 2023

Production écrite : Le thème de l’écriture Dernier jour d'un condamné, Victor Hugo



 Production écrite :  Le thème de l’écriture Dernier jour 

 d'un condamné, Victor Hugo

   

Sujet :

A l’instar de Victor Hugo dans Le Dernier jour d’un condamné, pensez-vous que l’écriture est une sorte de délivrance de la souffrance ou encore un moyen efficace pour atténuer la douleur ? Rédigez un texte dans lequel vous développez votre opinion sur l’utilité de l’écriture.

              Il faut d’abord rappeler que dans le roman à thèse de Victor Hugo : Le Dernier jour d’un condamné, le personnage-narrateur a opté pour l’écriture de son journal en guise de libération de sa souffrance. Dans ce sens, peut-on lui accorder raison ?

               Il n’est aucun doute que l’écriture peut être dans certains cas une vraie échappatoire contre les revers de la vie ainsi que les moments de chagrin et de détresse auxquels personnes n’est à l’abri. D’autant plus, elle est un puissant moyen de transmission et de conservation de l’information qui favorise l’échange ainsi que le dialogue en dépit du temps et de l’espace.

Sans omettre que l’écriture est une lutte contre l’oubli, du moment que toute personne pourrait laisser une trace, un témoignage à la postérité.

Néanmoins, l’écriture peut parfois agir autrement et ce par l’aiguisement de la pensée en mettant ainsi le doigt sur nos douleurs au lieu de les apaiser et en immortalisant les plaies au lieu de les cicatriser.

En outre, l’écriture éternise le mot en le rendant de plus en plus concret que la parole d’où l’amplification de la douleur qu’on espère atténuer.

En dernier lieu, l’acte d’écrire et de décrire nos souffrances peut les rendre plus résistantes, plus ancrées dans notre pensée et par conséquent, on se focalise davantage sur la douleur plutôt que de se livrer à l’oublier ou encore à la résoudre.

                  En somme, je confirme mon adhésion au proverbe chinois : « L’ancre la plus pâle veut mieux que la meilleure mémoire. », or il importe parfois d’opter pour d’autres moyens que l’écriture envie de se délivrer de sa souffrance tels : la prière, le sport, la bienfaisance….

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